Seul le monnayage émis 1) officiellement, 2) par les ateliers impériaux a été retenu. Le corpus des frappes impériales exclut donc le monnayage frauduleux émis par l’atelier de Rome sous les règnes de Claude II et de Quintille (y compris les monnaies non officielles de la série de consécration Divo Claudio) et le monnayage d’imitation (imitations radiées produites localement dans les provinces occidentales de l’Empire).
L’empire gaulois rebelle utilise ses propres ateliers. Le cas de la dynastie palmyrénienne est différent : ce corpus intègre le monnayage de Vabalath et de Zénobie produit dans l’atelier impérial d’Antioche pendant le règne d’Aurélien.